Dans les dernières semaines, les enjeux liés aux plateaux de travail sont fortement ressortis dans les médias. Au ROPHRCA, plusieurs de nos membres offrent aux personnes qui fréquentent leur organisme la possibilité de participer à des plateaux de travail. Bien qu’il y ait des enjeux réels, nous constatons, selon notre expérience, que ces milieux répondent à des besoins importants qui ne seraient pas répondus autrement. Les intervenant.e.s qui travaillent dans ces milieux sont des personnes dévouées, à l’écoute et qui mettent du cœur à leur travail. Ils et elles font en sorte que ces milieux soient enrichissants pour les personnes qui les fréquentent. Bien sûr, il y a un manque à gagner important au niveau des investissements gouvernementaux qui visent à faciliter l’accès à l’emploi rémunéré pour les personnes qui le souhaitent.
Comme notre regroupement provincial l’AQRIPH le souligne : « Il faut comprendre que les personnes qui fréquentent des activités de jour et des activités contributives n’exercent pas un emploi. Elles font plutôt des apprentissages dans le cadre d’activités de type travail, ce qui est différent d’un emploi en tant que tel. C’est ce qui explique que ces services socioprofessionnels sont sous la gouverne du réseau de la santé et des services sociaux et non de celui de l’emploi et de la solidarité sociale. »
Nous adhérons à la position de l’AQRIPH qui, via un communiqué de presse, a souhaité apporter des nuances dans le débat public en lien avec ce dossier.
Dossier de la Presse en collaboration avec la SQDI
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